Formed

Toute la nuit la petite moule sur le sol tape son desir de puriti. Le gros monsieur Nolo est en haut. Il va la voir le soir et bat des boules pour creer un bon tempo sexy car la belle fut charmee par monsieur Dede qui vit sous la moule a gateau, mon chocko mou est pris...en flagrant delit de se malturber en me regardant taper et d'en oublier la trotte de ses veinules bleues cur les niplons comme son pere et mes freres le signent sans assaut...
Un cas de force majeure, lecteurs. Foi de front, car si le diametre et le contenu statique de nos organes est soustrait frustres, les deux invites seront des lutins highnems et pas des monstres a quatre tetes, juristes, reuters, Aloxis. Con est bete au Canada, on lit que les mots en gras enforces par la presse militaire, mon nom? Oui, le sien mais on oublie de verifier les Signes et les roles, mes juristes....Formes a l'intelligence des l'enffffffffffffffffffff-oir de Reuters qui paie les contrats sous le lit des jumeaux...Quels jumeaux, salopiotte!

...as All night that little slut of Marbioxx calls our numerary forcepters at the government and sells our stuff to Gadalfi, right to adupt? Nopte! Day by night Reut stimulate the lubric action those elves, absolve of the because of his own aduptation, he is out of bonds, little cont! He can be taxed and fare our assets, that foxy short bloke is a gnome of their parrallel laxity of legal mecanic picture infiltration, the Mad box. Gone the fair trade on parental abductees of sexual activism. The right to print aliver since Nacy Sinatra and Cuba, Saint Aulsticis,....I have 3! SEXUAL ORBIT. Our time of free (three, feeling is mutual Rorters IRA-te mister Chandler, Adams, PLO, Ben missing oh shiiiiiiit! ) Our sex people in a land of their own. Alone, mister Mandela, Max Fregor And U.N.O Cinemascope, Their dear creditors at our attorneys...and his super-powers over hers.
The Devil's land. Devil Soldier, the Birthday Eve
FORMINGS
nightly a new paradigm of complexity
MOISTENED-BANDER
Cross o' Wood
Feb 2008
in hell, WE
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|dust in the wind indeed